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Du côté obscur de la science

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regret

La science a toujours été au centre de notre quotidien, que nous soyons dans le métro ou dans notre voiture, en train de manger ou de dormir. La science, à différents niveaux, a permis certaines nouveautés que l'on croyait autrefois impossibles. Chaque progrès nécessite un saut dans l'inconnu. Malgré le progrès scientifique et ses bienfaits, une facette souvent cachée de la science pourrait devenir un danger.

N’oublions pas le danger

Dans le Discours de la méthode, Descartes, grand philosophe français, explique que lorsque la technique acquise par les hommes devient technologie, elle permet de

"nous rendre comme maîtres et possesseurs de la Nature"

Selon lui, l'homme a la volonté de puissance et refuse de se soumettre aux lois de la nature. En effet, le progrès technique, comme celui de la science, permet de combler des lacunes mais donne aussi accès au danger qu’est la science. L'exemple le plus simple sont les technologies nucléaires qui, quand elles ont été inventées en 1986, permettaient de faciliter les conditions de vies des hommes. Cependant, plusieurs catastrophes ont eu lieu à la suite de sa création, comme la création de médicaments radioactifs qui procuraient le cancer aux malades, et les centrales nucléaires. Une des catastrophes la plus connu en lien avec cette énergie nucléaire est l’accident de Tchernobyl.

La catastrophe nucléaire de Tchernobyl

carte de tchernobyl

Dans la nuit du 25 au 26 avril 1986, une montée en puissance incontrôlée d'une unité de la centrale de Tchernobyl fait exploser un réacteur et a entrainé la plus grande catastrophe nucléaire civile de l’humanité. En effet, cela a libèré une grande quantité de radiations qui a dépassé celles de 400 bombes. L'explosion a provoqué une grave pollution de l'environnement et tué des milliers de personnes. Les éléments radioactifs ont éradiqué toute la région en quelques heures et se sont répandues rapidement dans toute l’Europe en laissant des traces dans la nature. Ils prendront plusieurs milliers d’années pour perdre leur radioactivité.

Fait en chiffre :

Les éléments radioactifs les plus dangereux devraient atteindre leurs demi-vies en 900 ans, ce qui prendrait théoriquement 48 000 ans pour épuiser leur rayonnement restant.

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